Le survivant
(The Omega Man)
Les critiques
Nombre de critiques : 10
Total des points : 66
Moyenne obtenue : 6.60/10
n°10 - 7/10 Fog Horn
28 août 2015
Pas de doute, nous sommes bien dans les années 70 avec ce film post-apocalyptique à la réalisation brut de décoffrage et à l'atmosphère désenchantée. Seul (ou presque...), Charlton Heston arpente les rues d'une mégalopole vidée de ses habitants suite à une guerre bactériologique, l'occasion pour le réalisateur de nous signer quelques plans superbes de la ville désertée. Si la première version de 1964 jouait sur l'épouvante, le film de Boris Sagal joue plus la carte de l'action (avec une touche de blaxploitation !) même si quelques tentatives de réflexion ou de poésie sont notables ça et là (voir le passage des mannequins repris dans le remake de 2007). Malgré un coup de mou en milieu de récit, LE SURVIVANT s'avère être un divertissement honnête et bien emballé.
n°9 - 7/10 Chris
27 avril 2009
Il y a pas mal de temps j'avais vu le film avec Vincent Price "The Last Man on Earth" de 1964, issu du livre de Matheson. Ce film est donc un remake, mais il faut avouer que l'histoire est forte et Charlton Heston grand spécialiste des films de Science-Fiction s'en tire bien. Franchement le scénario dérivé du livre "Je suis une légende" suit le sujet à merveille et a su être transposé avec brio par Boris Sagal!
n°8 - 7/10 Sans nom
08 mai 2007
Je suis en train de me faire une cure de vieux film. Venant de voir coup sur coup "soleil vert" et "Le Survivant", je reste sur mon point de vue premier qui est que Charlton Heston n'a jamais été un bon acteur, mais a eu la chance d'être servit par d'excellents scenarii. Mon dieu! qu'est ce qu'il est lourd ! A l'époque de ce film j'aurais choisis Clint Eastwood, plutôt qu'Heston qui ne semble savoir jouer que deux expressions : Je fais la gueule et je fais la gueule avec un fusil.
Mais c'est le seul mauvais point du film, heureusement que l'histoire est la.
Une ville déserte ayant encore l'apparence du vivant derrière les façades de laquelle se terre l'humanité en décomposition. La « Famille », précurseurs des Zombie de Romero et un héros pathétique qui s'accroche au vestige d'une civilisation qui a provoquée sa propre destruction. D'ailleurs on se pose la question ; et si la famille était dans le vrai ? L'humanité doit-elle réellement survivre ? Neiville sous sont apparence proprette de médecin militaire blanc n'est t'il pas la peste contagieuse qu'il faut éradiquer ? Alors que la maladie, en rendant aveugle et en dépigmentant la peau, gomme les différences raciales et unifie enfin l'humanité dans son dernier souffle pour offrir a la terre la paix éternelle tant prophétisée.
Le film n'osera pas s'aventurer dans cette scandaleuse direction, le scénario attendra cependant les dernières minutes du métrage pour insuffler la dernière dose « d'espoir », en remettant le vaccin aux enfants, se concluant ainsi sur une note peut-être plus acceptable pour le spectateur, (Je n'ai pas lu le livre, se termine-t-il de manière similaire ?). On notera néanmoins que Mathias, le guide de la famille, n'est pas directement vaincue par le « héros », comme si on avait subtilement voulut lui donner raison, que l'on avait voulus dire : « C'est toi qui a raison, tu peux aller mourir et pourrir en paix dans ton coin, mais les studios et le producteur on décider d'un happy end »
En le visionnant je n'ai pas pus m'empêcher de faire le rapprochement avec deux autres grand classiques du film apocalyptique, à savoir « Mad Max » (surtout le deuxième film ; Le Guerrier de la Route) et New York 1997 (« call me snake. »). Max et Snake sont en revanche des blasés qui se contenteraient bien qu'on les lâche un peu et n'ont vraiment pas envie de risquer leur peau pour ce troupeau de con qui, à l'image de Neiville, croit encore en la civilisation
En conclusion, Le Survivant, bon film malgré un acteur principal pénible et une fin peut-être trop optimiste.
n°7 - 6/10 Sans nom
24 octobre 2004
Un film sympa, mais qui vieilli... Pas mal fait, pas mal joué, du rythme... Bref on ne s'ennui pas. Les acteurs sont bons, et quelques scènes valent le coup. Pas un chef d'oeuvre, mais loin d'être mauvais.
n°6 - 7/10 Anan 7
29 février 2004
Film bactériologico christique avec dans le rôle titre ce bon vieux Charlton Heston, sauveur de l'humanité la semaine et militant de la NRA le week-end. Plus sérieusement le scénario du film est assez bon malheureusement le film n'est pas à la hauteur peut-être faute d'un budget suffisant. Il est à mon sens trop porté vers l'action et pas assez vers la réflexion sur un homme que la solitude extrême a rendu presque dément, une place trop grande est faite aux petits combats entre Neville et la famille qui ont vraiment un coté inspecteur Harry contre les voyous, mais bon, hormis cela le film n'est pas désagréable.
Le coté religieux est omniprésent et la scène finale est assez édifiante mais c'est bien sûr un film américain de studio qui obéit donc à une certaine logique propagandiste. Les noirs sont dépeint comme il est de coutume dans les années 70, c'est à dire soit comme des méchants soit comme des gentils a qui on ne peut pas faire confiance. Bon hormis tout cela le film se laisse regarder car l'idée de base est bonne et le suspense assez prenant.
n°5 - 10/10 Sans nom
08 février 2003
Tout simplement génial. C'est l'un de mes films préféré avec Charlton Heston (la planète de singes, soleil vert) et malgré sont apparence série B, ce film est une perle rare.
n°4 - 6/10 Sans nom
19 mars 2002
Ce film était pour moi un souvenir d'enfance marquant que je brulais de revoir depuis des années. Je l'ai revu cet hiver en VHS et j'avoue que je n'aurais pas dû. Entre temps j'avais évidemment lu le roman de Matheson (Ah ! Matheson !). Ce film est décevant. Dans la suite des films post-apocalyptiques (ou assimilés) de Charlston Heston (La planète des Singes, Soleil Vert) ce troisième film n'est pas à la hauteur. Il faut le connaître, mais ce n'est certes pas un chef d'oeuvre.
n°3 - 9/10 chris Gav
21 mai 2001
Le bouquin de Matheson est super et tres philosophique, ne jamais oublier qu'on peut etre different et etre rejeté par ses pairs ("je suis une legende" de r.matheson) tout en traitant de la folie des hommes à vouloir se detruire.Le film est malgré tout traité dans la forme avec talent, et CHARLTON HESTON(ancien bruce willis sauveur des mondes) y est majestueux comme à son habitude. Le film a americanisé le livre ,pourquoi ?
1-refus de l'auto-critique qui est presente dans le livre
2-Ajout d'une pointe de racisme latent
3-CHRISTIANISATION DE HESTON
n°2 - 2/10 Sans nom
04 octobre 2000
C' est pas du tout la veritable histoire. Le livre lui est très captivant par rapport au film. Si vous n'aviez pas dit, tiré de "je suis une légende" j'aurais compris !! Le film ressemble à un de ces feuilleton idiot de science fiction.
n°1 - 5/10 Sans nom
26 août 2000
Doc'. Ceci n'est pas une critique, mais une question. Pourquoi ne pas avoir garde l'histoire du roman? Dans ce dernier, Neville devient une iconographie d'une nouvelle humanite, ce qui a mon avis est un peu plus profond que ce que l'on nous raconte dans le film (bang boum j'te sauve quand meme le monde). @+
(Réponse de DoctorSF)Et bien parce que je traite des film set non des romans et de plus je n'ai pas lu ce dernier (honte à moi !). Mais puisque tu as mis une note, ceci devient une critique !Merci @+