Short Circuit
(Short Circuit)
Les critiques
Nombre de critiques : 5
Total des points : 38
Moyenne obtenue : 7.60/10
n°5 - 5/10 Chris
08 mai 2009
Une comédie de Science-Fiction classique des années 80, et si numéro 5, un robot de l'armée Américaine ressemblait à çà, même à l'époque rien qu'en le voyant on aurait rigolé. Divertissant, certes mais cette fable n'amène rien de plus à la SF.

n°4 - 9/10 LHOIRY Yann
28 décembre 2008
Un des rares films de l'époque où le personnage, bien que robotique, était touchant (voir expressif, car son design à servi pour créer WALL-E !). Le film reprend une trame générale de nombreuses fois utilisée dans des films comme E.T., Howard The Duck... Un gentil personnage et des méchants qui veulent lui faire la peau (Heu ! Les circuits imprimés !). Un classique 80's.

n°3 - 9/10 pierre bonabeau
20 décembre 2008
Humour au RV ! N°5 est vraiment le père de Wall-E ! si si vérifiez vous verrez les ressemblances... Pour l'époque c'était super bien goupillé (fx, pas de brouillard pour masquer les effets etc...)

n°2 - 7/10 KX69
04 novembre 2007
« Short circuit » est sans doute le meilleur des ersatz d'E.T. Si la trame du scénario signé Brent Maddock et S.S. Wilson (auxquels ont devra par la suite la série des « Tremors ») est un peu convenue, le ton se démarque rapidement de celui de Spielberg et opte pour la comédie familiale sans omettre de proposer avec modestie une réflexion sur ce qui différentie l'homme de la machine. Une scène clé du film semble d'ailleurs vouloir reprendre à son compte la réflexion de Rabelais : « le rire est le propre de l'homme » ou tout au moins de l'être pensant. John Badham, réalisateur venu de la télévision (il y ait revenu depuis) qui signa quelques succès populaires pendant une dizaine d'années à partir de 1977 (« la fièvre du samedi soir » qu'il cite d'ailleurs dans une scène, N°5 reprenant les pas de danse de Travolta, « Tonnerre de feu », « Wargames » et donc « Short Circuit ») connaît indéniablement son métier et livre un film attachant. Une réussite qui est également en partie due à un robot très convaincant et que les volets-sourcils et les camera-yeux rendent très expressif.

n°1 - 8/10 Xavier Penin
19 août 1999
Une énième version du mythe de Frankenstein, dans un style plutôt gentil. Le récit n’est pas novateur, mais l’humour léger et le style du robot passent bien. L’aspect plutôt mécanique des SAINT dans l’introduction militaire est vite oubliée lorsque numéro 5 fait étalage de toutes ses articulations, qui lui permettent d’avoir l’air vivant, d’avoir des émotions (deux simples plaques en guise de sourcils font des merveilles ), et même de danser ! Il est amusant de retrouver les autres prototypes à la fin du film, tant leur apparence et leur comportement est si différent, mécanique et violent.
Les personnages sont assez peu intéressants et banals, et la morale du film reste très manichéenne et n’emmène pas les spectateurs vers des abîmes de réflexion métaphysiques sur la vie et la condition de la machine, mais bon, c’est un film bien pour les enfants, et leurs parents s’ils ont l’esprit ouvert.
