Les rescapés du futur
(Futureworld)
Les critiques
Nombre de critiques : 4
Total des points : 27
Moyenne obtenue : 6.75/10
n°4 - 4/10 Fog Horn
16 novembre 2012
MONDWEST se suffisait à lui-même. On est donc, une fois de plus, face à une suite totalement mercantile dont je cherche encore le moindre intérêt artistique. Alors que le film de Michael Crichton ne s'attardait pas vraiment sur le fonctionnement du parc pour plutôt se focaliser sur le comportement de ses visiteurs, LES RESCAPÉS DU FUTUR nous fait entrer dans les coulisses via deux journalistes entraînés dans une intrigue vaguement conspirationniste. En dehors de la réalisation totalement impersonnelle (pour ne pas dire vieillotte) de Richard T. Heffron, c'est la tonalité très commerciale de l'ensemble qui me gêne le plus avec des touches d'humour gratuites et surtout le retour totalement inutile de Yul Brynner histoire de pouvoir remettre son nom sur l'affiche...
n°3 - 10/10 Sans nom
30 janvier 2009
Une fin plutôt cynique, des effets spéciaux très précoces et donc totalement sidérants notamment pour leurs figurants en animatronics remarquablement humains - et n'oublions pas le souffle du THX ! -; Simplement l'une des meilleures "séquelles" existantes...
n°2 - 6/10 Chris
25 novembre 2008
Une suite moyenne après "Mondwest" mais qui n'est pas totalement dénuée d'intérêt, surtout le robot sans visage qui vit sous Délos avec Harry. Pour le reste on passe un moment de détente en le visionnant.
n°1 - 7/10 KX69
21 février 2004
Abandonnant le thème de la révolte des robots pour celui du complot, cette suite de Mondwest, nous convie au fil d'une enquête journalistico-policière à la découverte des attractions pour adultes de Delos et se clôt par un suspense efficace. L'humanisation des robots que l'on perçoit en filigrane de l'intrigue (notamment la relation entre le technicien Harry et son robot Clark) ajoute une touche de mélancolie. La sobriété des effets spéciaux et des décors fait que le film a esthétiquement peu vieilli. Seul la scène du rêve (ou apparaît Yul Brynner) semble datée. On regrettera toutefois que la platitude de la réalisation n'ait pas utilisé tout le potentiel de ce bon (à défaut d'être complètement original) récit d'anticipation.