Nemesis 2: Nebula

(Nemesis 2: Nebula)

 Les critiques

Nombre de critiques : 3

Total des points : 8

Moyenne obtenue : 2.67/10

n°3 - 3/10 Fog Horn

30 mai 2018

Le premier NEMESIS était une super série B mais cette suite, pourtant signée du même réalisateur, tape clairement dans le Z. Et l'explication est bien simple : le budget visible à l'écran semble avoir été divisé par trois, voire plus ! C'est le prototype de la suite direct-to-video tournée à l'économie pour profiter de la réputation du film original. Les décors sont minimalistes (le désert d'Arizona), la réalisation est anodine et les effets spéciaux (pourtant peu nombreux) sont horribles avec cet ersatz low-cost de PREDATOR. Le seul élément marquant est la présence en tête d'affiche de Sue Price, à la carrure bodybuildée digne d'un Schwarzenegger période CONAN LE BARBARE.

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n°2 - 2/10 KhorsKan

26 mai 2005

Que dire de ce navet déplorable ... L'histoire est navrante au plus au point, aucun effet quel qu'il soit (spécial ou autre), les dialogues sont magnifiquement absents (le personnage principal se remarque par son mutisme prononcé ... à se demander si elle n'est pas muette de naissance ...), en bref : certainement un des pires films de Série B !
Seul point positif (au sens large du terme) : les formes sculpturales de l'héroïne ... Conclusion : AU SECOURS ...

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n°1 - 3/10 KX69

26 mai 2005

Film fauché inspiré par « Terminator » (c'est dingue le nombre de direct-to-video qui ont été inspiré par « Terminator ») et mais aussi par « Predator » pour le design du cyborg (c'est fou le nombre de direct-to-video qui ont été inspiré par « Prédator»), « Nemesis 2 : Nebula » tente de se démarquer de ses modèles en situant l'action dans des décors naturels désertiques et en féminisant (enfin on peut le penser) le personnage principal. Toute la première partie est une longue fuite répétitive et lassante de la peu gracieuse Sue Price, qui en lieu et place du super ADN a surtout abusé d'anabolisants.
Ne pas avoir vu le premier volet de ce chef d'ouvre ne nuit donc pas à la compréhension et surtout pas à la douce torpeur qui envahi le spectateur. Le film s'achève dans les traditionnelles friches industrielles de ce type de produits (ici une mine) sans que l'on sache quel type de danger représente pour les cyborgs notre héroïne 100% hormones. Peut-être, la réponse est-elle donnée dans « Nemesis 3 : Time Lapse » annoncé en fin de bande mais ce sera sans moi (Quoique je n'ai jamais eu beaucoup de volonté.).

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