Les zintrus

(Aliens in the Attic)

 L'histoire

Pour resserrer les liens familiaux, toute la famille Pearson – Stuart, Nina et leurs enfants Bethany, Tom et la petite Hannah – décide de passer ses vacances dans une grande maison perdue en pleine campagne. L’oncle Nate, son fils Jake, grand-mère Nana Rose et les jumeaux Art et Lee viennent les rejoindre. Un soir, une étrange tempête s’abat sur la maison, et quatre mystérieux objets atterrissent sur le toit. Ce sont des vaisseaux spatiaux transportant des extraterrestres bien décidés à conquérir la Terre…

Les aliens disposent d’une technologie redoutable capable de contrôler les esprits… mais cela ne marche que sur les adultes ! Pour sauver leur famille – et le monde – les enfants ne peuvent compter que sur eux-mêmes. S’engage alors dans l’ombre, à l’insu des adultes, un combat dont l’issue décidera du sort de l’humanité tout entière…

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Le petit mot du Doc

Cette fois, pour sauver notre Terre, il n’y aura ni super-héros, ni agence gouvernementale… juste des enfants. Voici l’invasion la plus sournoise et la contre-attaque la plus délirante de l’histoire de notre galaxie. Extra-terrestres remontés à bloc contre gamins déchaînés : tous les coups sont permis ! A votre avis, qui va souffrir le plus ?

En imaginant l’histoire des ZINTRUS, Mark Burton voulait retrouver ce qu’il aime le plus dans les films familiaux : l’aventure, le frisson, l’inventivité, et des personnages attachants. Egalement coauteur du scénario, Mark Burton eut l’idée du film alors qu’il se trouvait chez lui à Londres en compagnie de sa femme et d’amis. Tandis que ses enfants et ceux de leurs amis jouaient bruyamment à l’étage, il se demanda soudain ce qu'il se passerait si les enfants étaient en train de combattre une invasion extra-terrestre là-haut, sans que les adultes en sachent rien.

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C’est devenu l’idée de base des ZINTRUS, une grande aventure dans laquelle une invasion extraterrestre est repoussée par des enfants sans que les parents s’en doutent une seconde.

Bien que le pistolet à patates soit l’arme principale des enfants pour combattre les envahisseurs, ils font aussi bon usage d’une technologie venue d’un autre monde lorsqu’ils réussissent à mettre la main sur le contrôleur d’esprit des extraterrestres. Ce gadget projette une petite pointe qui se fixe à la base du crâne de la victime la transformant en marionnette. L’appareil qui contrôle l’implant ressemble à une petite console de jeu vidéo avec un joystick et une oreillette « AlienTooth » qui fonctionne comme un traducteur universel. Cet appareil permet à celui qui l’utilise, extraterrestre ou humain, de manipuler sa victime selon sa volonté. Grâce à leur ingéniosité, les enfants Pearson vont transformer le gadget extraterrestre en véritable jeu vidéo… ou encore leur grand-mère en spécialiste des arts martiaux.

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Les Zintrus possèdent tous une personnalité différente. Skip est leur chef. C'est un accro de ce méchant gadget. Heureusement, cela ne marche que sur les adultes ! Skip est petit, joufflu et il se met souvent en rogne, surtout contre les autres Aliens qu’il considère comme des bons à rien.

Lazer est un vrai problème pour ceux qui le rencontrent. Super costaud, il ne lâche jamais l’affaire, et vu qu’il est aussi stupide que déjanté… Il agit d’abord et réfléchit ensuite… quand il réfléchit.

Razor, c'est la seule, euh… "fille", si on peut dire, de cette drôle de bande d’Aliens. Aux yeux de ses petits copains intersidéraux, Razor est une bombe. Pour nous autres humains, elle serait plus proche de la Bête que de la Belle... Razor ne comprend pas pourquoi ses compagnons n’arrivent pas à mener leur mission à bien – après tout, il ne s’agit que de prendre le contrôle de la Terre ! Elle refuse d’admettre que ses complices puissent être de parfaits abrutis. Elle va en avoir de nombreuses preuves…

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Sparks est le plus gentil de tous les extraterrestres. Il est assez maladroit, mais pour sa défense, personne ne s’en sortirait facilement avec quatre bras ! Sparks est pourtant capable de faire plein de choses différentes à la fois, et il peut réparer à peu près n’importe quoi.