Gorgo

(Gorgo)

 La critique de KX69

21 janvier 2006

Signé par Eugène Lourié, après « le monstre des temps perdus » en 1953 (film qui inspira le godzilla japonais) et « the Giant behemoth » en 1959, « Gorgo » se distingue de la plupart de ses confrères nippons par son solide scénario, la qualité de ses effets spéciaux (notamment les miniatures) et sa belle photographie. Si la créature marine écrabouille Londres, ce n'est pas par colère mais uniquement mû par l'instinct maternel, le grand responsable de la catastrophe étant ici la cupidité des hommes. « Gorgo » est indispensable à tout amateur de film de monstres géants

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